Annonce exclusive Gens de Confiance
Bianchi Bandinelli Ranuccio, Rome. La fin de l’Art Antique, Gallimard, « L’Univers des formes », 1970
Livres, Films & Disques
Noisy-le-Sec (93130)
22 €
Ranuccio Bianchi Bandinelli, Rome. La fin de l’art antique. L’art de l’Empire romain de Septime Sévère à Théodose Iᵉʳ, Gallimard, « L’Univers des formes », 1970, 492 p.
Sur l’art romain pèsent encore certains préjugés qui ont retardé la définition des caractères spécifiques de cet art. L’art romain doit sans
Doute sa naissance au contact de l’art grec ; mais cet héritage se transforma en s’adaptant aux exigences d’une société fondamentalement différente. C’est pour entendre mieux les aspects et les conditions de cette évolution, tout à fait exceptionnelle dans son parcours historique, que dans le présent ouvrage l’auteur s’est limité à observer l’art romain là où il s’est formé, c’est-à-dire à Rome même, centre de ce pouvoir politique auquel l’art de l’époque romaine a été toujours intimement lié. Les formes de l’art romain sont analysées dans ce livre depuis leur naissance tardive et complexe jusqu’au temps de Commode, à la fin du IIe siècle de notre ère. À ce moment, une première crise se manifeste dans la longue suprématie du naturalisme hellénistique. Le chemin est dès lors ouvert à une transformation qui aboutira, deux siècles plus tard, au seuil du Moyen Âge.
« L’Univers des formes », dont le dernier titre a paru en 1997 dans sa version originelle, est une « Histoire universelle de l’art » en 42 volumes, reliés et abondamment illustrés de documents souvent inédits, confiés à d’éminents scientifiques. Collection de prestige international, elle suit un plan mis au point par André Malraux — dont elle constitue la plus importante réalisation éditoriale, en prolongement de ses propres essais sur l’art.
RDV possible à Paris 06 ou Noisy-le-Sec
Sur l’art romain pèsent encore certains préjugés qui ont retardé la définition des caractères spécifiques de cet art. L’art romain doit sans
Doute sa naissance au contact de l’art grec ; mais cet héritage se transforma en s’adaptant aux exigences d’une société fondamentalement différente. C’est pour entendre mieux les aspects et les conditions de cette évolution, tout à fait exceptionnelle dans son parcours historique, que dans le présent ouvrage l’auteur s’est limité à observer l’art romain là où il s’est formé, c’est-à-dire à Rome même, centre de ce pouvoir politique auquel l’art de l’époque romaine a été toujours intimement lié. Les formes de l’art romain sont analysées dans ce livre depuis leur naissance tardive et complexe jusqu’au temps de Commode, à la fin du IIe siècle de notre ère. À ce moment, une première crise se manifeste dans la longue suprématie du naturalisme hellénistique. Le chemin est dès lors ouvert à une transformation qui aboutira, deux siècles plus tard, au seuil du Moyen Âge.
« L’Univers des formes », dont le dernier titre a paru en 1997 dans sa version originelle, est une « Histoire universelle de l’art » en 42 volumes, reliés et abondamment illustrés de documents souvent inédits, confiés à d’éminents scientifiques. Collection de prestige international, elle suit un plan mis au point par André Malraux — dont elle constitue la plus importante réalisation éditoriale, en prolongement de ses propres essais sur l’art.
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